Basé en France mais aussi en Guyane, au Brésil et en Grèce, Voltalia mise sur les énergies renouvelables. La société conçoit, développe et exploite des centrales électriques avec une approche multi-énergies.
Historiquement présente dans la production hydroélectrique, Voltalia a élargi ses compétences à l’éolien en 2005 et à la biomasse depuis 2006. Voltalia est également présent dans l’énergie solaire, cette fois-ci en Grèce.
Depuis le début de l’année, Voltalia « solidifie sa stratégie de développement » avec notamment la mise en construction d’une centrale biomasse à Kourou, en Guyane Française et de deux parcs éoliens de 10 MW et 8 MW à St-Felix du Lauragais ; la création d’Anélia, en association avec Anemos, société de développement des projets éoliens portant sur 234 MW ; le lancement d’un projet solaire photovoltaïque en Grèce (20 MW) ; la création d’Energio Participaçoes, société de co-développement au Brésil portant sur 49 MW ; et le lancement en juillet de cinq nouveaux parcs éoliens en ZDE (Zone de développement Eolien) d’une puissance totale de 130 MW. « Fort de ces récents projets, le portefeuille multi-énergies de Voltalia représente une capacité totale de plus de 800 MW constitué de 46 projets auxquels s’ajoutent 300 MW d’opérations actuellement à l’étude », précise la société.
Par ailleurs, « Voltalia enregistre sur le premier semestre 2007 un chiffre d’affaires de 360 000 euros, dû à l’activité de l’usine BIOBAR acquise en décembre 2006 ».
Enfin, la levée de fonds réalisée en avril 2007 par Voltalia lui a permis de récolter quelques 20 millions d’euros et d’élargir son flottant à plus de 50 % du capital. Des finances qui devraient aider la stratégie de la société : « en 2009, année pivot, la société passera d’une activité principalement axée sur le développement à une activité de production significative d’électricité à base d’énergies renouvelables », précise-t-elle.
