Le gain annuel de l’indice parisien pour 2007 se monte finalement à 1,31 % après la dernière séance de l’année, écourtée pour cause de Saint-Sylvestre. Le CAC 40 a fait les frais de la crise du crédit hypothécaire américain à risque (« subprime ») et de ses effets en chaîne sur les marchés du crédit occidentaux, qui ont balayé la quasi-totalité des gains engrangés par les Bourses durant le premier semestre. En France, le CAC a atteint son plus haut de l’année le 1er juin (6 218,15) ce qui représentait alors un gain d’un peu plus de 11% depuis le 1er janvier.
En 2006, le CAC 40 avait progressé de 17,35 %.